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Je me suis équipé d'une tablette quelques jours avant le départ.
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'Facile à utiliser' m'a précisé le vendeur.
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Confronté aux problèmes d'énergie connus par tous les voyageurs à vélo, voulant 'profiter' de tous les instants de la journée, adepte malgré tout du 'pas de nouvelles, bonnes nouvelles', je n'ai réussi à transmettre un mail 'complet' à tous mes 'contacts' qu'au bout d'un mois de voyage. Ma première pièce jointe, une photo, au bout de deux. A 'télécharger' ma première 'application' (enregistrement de sons), au bout de trois, et un mois supplémentaire à me perfectionner.
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Bref, en arrivant à Tbilissi, je commençais à maîtriser 'grave'.
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Tant mieux, car l'histoire qui suit commence dans cette ville. Elle raconte mon voyage retour en solitaire à l'aide de traces choisies, capturées par ma tablette. J'espére qu'elle vous plaira sinon, pour le prochain voyage je pars sans rien.
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Et pour le voyage 'aller' jusqu'à Tbilissi, c'est une autre histoire . . . à venir
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François
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